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Des joueurs et joueuses, Cyril Maillard, l’entraîneur des Wallabies, en a vu grandir et pour certains devenir professionnels dans de grands clubs à l’étranger. « Ce qui plaît dans ce sport anglo-saxon, c’est la diversité des actions. On court, on lance, on attrape, on frappe. On est en duel face à un lanceur et en même temps, on est dans un collectif en défense comme en attaque », explique-t-il.
Plus qu’un esprit d’équipe, c’est un esprit de club que les Wallabies ont su créer au rythme des saisons et des championnats. « L’esprit de club est important. Des passerelles existent entre les différentes générations ».
Difficile de décrire ce sport en détail. Seule certitude, essayer, c’est l’adopter.