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« Le concours européen de Rome est une chance pour moi. Je n’ai jamais atteint un si haut niveau. Je suis fière et contente d’atteindre cette étape et je vais tout faire pour obtenir une victoire. Pour se préparer à un concours comme celui-ci, il faut d’abord de la préparation physique et mentale. Il faut être prêt à se battre mais sans trop stresser non plus. La danse, c’est juste du plaisir. Même si l’enjeu de la compétition est grand et que je vais essayer de l’atteindre, je suis plutôt excitée à l’idée d’y participer. J’ai hâte de représenter ma chorégraphie sur scène ».
« La danse m’apporte beaucoup de choses. Sans cela, je ne serai pas tout à fait moi-même. Les concours m’apportent beaucoup, notamment dans la gestion du stress dans ma vie de tous les jours comme à l’école. La danse m’aide, me stimule aussi même si les concours sont durs parfois mentalement. Ça me fait vibrer, ce qui est important dans la vie d’une danseuse ».
Une passion depuis l’enfance
« J’ai commencé la danse à 5 ans. Un an plus tard, Jennifer, ma professeure, m’a proposé, d’entrer dans le groupe concours. Puis j’ai commencé les solos, d’abord imposés puis libres où je créais avec ma professeure et je n’ai jamais arrêté ».
Une danseuse en devenir
« Aujourd’hui c’est ma passion et je ne me vois pas arrêter maintenant. Après mon bac, j’envisage de rentrer au Conservatoire National Supérieur de Musique et de danse à Paris pour faire carrière dans le milieu de la danse ».
Une préparation minutieuse
« La préparation du concours est un travail qui s’est fait à deux. J’ai d’abord choisi la musique. Par la suite, j’ai commencé à chercher quelques pas, à faire des filatures de mouvement que j’ai montrées à ma prof. On a construit la chorégraphie ensemble ».